Alyah Jerusalem

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"Investir dans l’éducation de nos enfants, dans le soutien scolaire" – Anaelle, 53 ans

Anaelle, 53 ans, a quitté une vie confortable en région parisienne pour Israël à la suite des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hypercasher en 2015. La sécurité de ses enfants, scolarisés dans une école privée juive, est devenue une préoccupation majeure. « Des soldats ont commencé à garder l’entrée de l’école de mes enfants, » se souvient-elle.

La décision de faire leur alyah est prise rapidement, motivée par le désir de ne pas déraciner les enfants pendant leur adolescence. L’intégration des enfants en Israël s’est avérée être un succès, aidée en partie par l’investissement dans des cours privés pour l’aide aux devoirs. « Ils se sont vite fait des copains israéliens. C’était une très bonne chose, » dit Anaelle.

Pour Anaelle et son mari, l’éducation est une priorité absolue, et le choix d’une bonne école est essentiel. Ils ont adopté une approche pratique en visitant les écoles et en parlant aux élèves pour évaluer si les établissements correspondaient à leurs attentes. Anaelle souligne l’importance de viser des écoles d’un niveau supérieur à celui fréquenté par les enfants en France.

Elle conclut, « Notre alyah est spirituelle. On ne monte pas en Israël comme on déménage à Saint-Tropez. »